Révélations sur la succursale de « Team Jorge » au Maroc et la persécution transfrontalière du couple Filali.

    Alwakai3e Almaghribia :  Adnane Filali

Nul ne devrait être surpris de l’existence d'entreprise telle que Team Jorge, cette officine du crime numérique créée par Tal Hanan, homme d'affaire israélien spécialisé dans le renseignement et la propagande. Il est vrai que depuis l’affaire PEGASUS, même les néophytes en géopolitique et en affaire d’espionnage ont entendu parler de l’efficacité de la société NSO en matière de regroupement d’information et de surveillance. L’état d’Israël se place depuis sa création, comme championne du domaine. Ce n’est pas un hasard que le service de renseignement de ce pays est l’un des plus actifs au monde.

La plupart des méthodes employées par la société fantôme Team Jorge, ne sont ni légales ni étiques. Voilà ce qu’on peut trouver sur leur page Wikipédia comme définition de leurs activités: ‘’Dénigrement de personnalités, le sabotage d'élections, la construction de récits inventés, la propagande, la manipulation de l'opinion publique (et en particulier des choix électoraux).’’

Ces pratiques ont évidemment pour but de propager de la fausse information pour le compte de ceux qui ont en les moyens et le besoin. Il s'agit ici de manipuler les masses populaires, les états ou certaines personnes bien ciblées.

Actuellement, les mafias, gangs et malfrats en tous genres se reconvertissent en masse à la cybercriminalité et aux activités de renseignement et d’influences, choses bien moins risquées que le trafique de drogue et d’êtres humains. Il y a bien un pays qui en plus d’être le champion du Narcotrafic, excelle en ce moment dans l’espionnage de masse : le Maroc.

Hormis les affaires de corruption qui ont éclaté récemment au sein même du parlement européen entrainant des condamnations à la chaine et à de la prison ferme, le Maroc fait encore parler de lui dans le domaine de la surveillance illégale et de la manipulation des esprits. Pour agrandir son influence, ce pays n'hésite pas à utiliser le chantage. Toute chose compromettante peut être à la base de n'importe quelle négociation. Pour placer ses pions dans l’échiquier de la scène nationale et internationale, il use et abuse de partenariats avec des entités Israéliennes championnes dans les domaines précités.

C’est autre chose que les méthodes de renseignement basique employées au sein du pays utilisant le citoyen lambda « les berguaguas » comme on les appels au bled : gardiens de voitures et d’immeubles, les videurs de boîtes de nuit et une multitude de personnes ayant la parole facile, qui contre quelques billets ou service rendu sont prêts à rapporter les faits et gestes de toute la ville. Quant aux affaires internationales, les relations avec les services secrets des pays alliés et l'emploi de barbouzes ne suffisent plus au régime marocain pour satisfaire sa soif d'information et de contrôle. 

Le régime est traumatisé par les printemps arabes et le mouvement du 20 février où pour la première fois de son règne, le Roi Mohammed 6 a failli assister à sa chute, non pas causée par des généraux comme au temps de son père, mais par le peuple, en colère. En colère de ne plus pouvoir satisfaire ses besoins vitaux, alors que la famille royale marocaine pille, sans vergogne, toutes les richesses du pays et se place parmi les familles les plus riches au monde. En colère que ses rêves soient piétinés par un pouvoir inique. Une jeunesse diplômée que le chômage étouffe qui n’a d'autres solutions que de risquer sa vie dans des embarcations de fortune pour atteindre l’Eldorado européen, le voyage s’il ne finit pas par la mort, souvent se termine par la soumission à des salaires de misère et à une vie de clandestin sous les ponts, à côtoyer les rats, sentir l’urine et se faire insulter dans leurs chaînes d’information en continu.

Au-delà de sa propre misère, la colère des Marocains se nourrit aussi des meurtres du Makhzen : Mouhcine Fikri broyé dans une benne à ordures par la police, Hassan Tahiri tabassé à mort pour avoir défendu la dignité et les droits de ses concitoyens, Abdullah Baha, percuté par un train au même endroit où Ahmad Zaidi, leader de la gauche est mort noyé dans sa voiture un mois plus tôt... On pourrait aussi évoquer la mort de mon père, le célèbre caricaturiste et patron de presse Mohammed Filali assassiné non loin de son domicile après que les médias d'état publient son adresse dans une violente campagne diffamatoire à son encontre. La liste macabre est encore longue...

En plus des morts, il y a tous ceux enterrés vivants dans les geôles insalubres qui crient la souffrance du peuple et alimentent la colère des puissants. Citons certains d’entre eux, parmi les plus célèbres : Naama Asfari 30 ans, Nasser Zefzafi 20 ans Omar Radi 6 ans, Soulaimane Raissouni 5 ans, Nabil Ahamjik 20 ans ,Mohammed jelloul 10 ans, Hicham Dalouh 20 ans, Samir Ighid 20 ans,Mohamed el haki 15 ans, Zakaria adehchour 15 ans ,Mohamed Sakaki 4 ans.....  Les victimes sont encore innombrables et la liste s’agrandit chaque jour…  Concluons ce chapitre funeste et malheureux par le plus vieux prisonnier politique au monde Mohammed Ziane ancien ministre des droits de l'homme, condamné à 3 ans, pour ne pas dire condamner à mort, pour avoir simplement dénoncé le régime policier marocain .

En réponse à ce peuple en ébullition et à cette révolution sur le point d’exploser à tout moment, le pouvoir marocain est devenu l’un des états policiers les plus répressifs au monde.  La nouvelle politique du Makhzen tend à la surveillance de masse, ils sont à l'affut du moindre soubresaut contestataire. Il utilise la diffamation et la manipulation de fakes news comme outil pervers de destruction de personnalités dérangeantes et aussi comme outille de chantage.

La normalisation récente du Maroc avec Israël, n'est pas tout à fait désintéressée par la recherche de collaboration dans le domaine de la surveillance. On a pu voir le général de division Tomer Bar sur Rabat pour officiellement ''renforcer la coopération entre les deux armées'' et le chef de la police Israélienne Yaakov Shabtai, le 1 er Aout dernier pour des raisons similaires concernant les polices des 2 pays.

Au-delà de ces rencontres officielles et publiques, nous allons révéler ici ce qui se trame derrière le rideau : les accords secrets oscillant entre sociétés privées israéliennes et l'état policier marocain. 

Après une enquête menée par la cellule investigation de Radio France et le Monde, en collaboration avec le consortium Forbidden Stories, M.Rachid MBARKI fut le premier épinglé dans le scandale de Team Jorge. On le soupçonne d'avoir touché de l’argent de cette boîte fantôme pour faire de la propagande et de la désinformation pour certains pays dont le Maroc.

Il a ainsi employé en plein Journal télévisé le terme de « SAHARA MAROCAIN », au lieu de ‘’SAHARA OCCIDENTAL’’ . Pour tous ceux qui connaissent un tant soit peu la politique marocaine, savent que le sujet du Sahara est la chose la plus importante aux yeux du régime Marocain. ‘’Le Sahara marocain’’ est un souhait de l'état marocain et non une vérité. N’oublions pas que le Sahara est revendiqué par le peuple sahraoui autant que par le Maroc, cette affaire est actuellement entre les mains de l’ONU et le seul terme approprié reste ‘’le Sahara occidental’’. Ceci a donc un sens hautement politique et ne peut être considéré comme une simple erreur de langage, surtout venant d’un journaliste d'origine marocaine.

Ce qui a été confirmé par les journalistes précités, concerne uniquement la partie émergée de l'iceberg, le côté visible, commercial et presque présentable de l'officine israélienne. Mais ce que nous avons découvert ne peut être annoncé par M.Tal Hanan comme service possible à n’importe quel client potentiel se présentant à lui. 

      LA SUCCURCALE DE TEAM JORGE AU MAROC

Après une longue enquête et croisement de différentes sources, ainsi qu’un témoignage d’une personne navigant autour de Tal Hanan, nous pouvons annoncer ici l’existence de ce qui peut être vraisemblablement assimilé à une filiale de la société Team Jorge au Maroc, l'une à Agadir et l’autre à Rabat. Les '' travaux '' se font uniquement à destination du Maroc et en collaboration directe avec les services secrets marocains.

Les équipes israéliennes se sont intégrées au cœur de ces structures policières secrètes du royaume. Les organismes des deux villes sont spécialisés dans le recueil d’informations et la propagation de diffamation et de fausses informations, mais chacune a sa particularité. Les outils employés par la société mère en Israël sont identiques, on y retrouve les mêmes technologies.

Les Marocains utilisent uniquement le résultat final des équipes israéliennes et ne sont détenteurs d’aucune sorte de brevets.

Le bureau de Rabat gère essentiellement la surveillance au niveau des partis politiques, des associations, des dissidents, des journalistes ou toute personne ou structure au Maroc ou à l'étranger pouvant de près ou de loin représenter un danger pour le pouvoir marocain. Toute personnes ou structures proche du pouvoir, peuvent être visés.  La propagation de fausses informations (diffamation comprise) est réservée, la plupart du temps, aux voix dissidentes prenant une certaine ampleur au national et en dehors du Maroc.

Le bureau d’Agadir est spécialisé dans la surveillance des personnes parlant la langue hassanya, dialecte arabe parlé en Mauritanie, dans le sud du Maroc, dans le territoire du Sahara occidental ainsi que dans d'autres régions en Afrique de l'Ouest et dans le Sahara Algérien. Dans leur viseur, toute personne parlant ce dialecte et venant de cette région pouvant causer potentiellement une gêne ou un intérêt quelconque pour le régime marocain.

Certaines des informations collectées sont directement publiées dans Wikileaks Sahara, un site géré par les services secrets marocains, faisant référence à la célèbre plateforme fondée par Julian Assange . À savoir qu'un réseau de télécommunication en Mauritanie ainsi qu'un autre fortement utilisé par les étrangers en Europe sont détournés par ces officines pour leurs affaires de surveillance.

    LE COUPLE FILALI VICTIME D’UNE GIGANTESQUE CAMPAGNE DE DIFFAMATION ET DE DESINFORMATION INTERNATIONALE 

Des centaines de milliers de personnes nous suivent de près depuis 2016 sur les réseaux ( Dounia et Adnane Filali , couple de journalistes marocains) et connaissent notre affaire malencontreuse avec le régime marocain. Tout le monde est témoin de la persécution que nous subissons, et cela, depuis le premier jour.

L’acharnement des services secrets Marocains à notre encontre a commencé en novembre 2020, période où nous avons dénoncé la surveillance et l'espionnage des services secrets marocains via des caméras placées dans des chambres d'hôtels, ceci bien avant l'affaire Pegasus et que la lumière se fasse sur les méthodes de chantage et de pression employé par les services secrets du régime sur les personnes qui les dérangent. Énormément de preuves étaient publiques, il suffisait de les regrouper et d’interviewer les bonnes personnes : les victimes. 

Persécutés, surveillés, diffamés par l'état policier, nous avons été les premiers marocains de l'histoire à subir les assauts coordonnés de l’état marocain et de médias Israéliens et français. Un double record en tant que Marocains. Après être devenu les premiers réfugiés politiques Marocains en Chine, nous voici les premières victimes collatérales de la normalisation du Maroc avec Israël. Nous payons aussi le prix de la préservation des ’’bonnes relations bilatérale’’ entre la France et le Maroc.

Etant partit de Chine pour la France après une attaque d’agents marocains à notre domicile, nous ne pensions pas qu’en arrivant au ‘’pays des droits de l’Homme’’ nous allions vivre ce cauchemar que l’état chinois n’aurait sans doute jamais permis sur son territoire même pour satisfaire un pays allié.

Le 5 janvier 2022, à peine deux jours après l'annonce de notre présence en France par le journal Libération, commence contre Dounia et moi-même une campagne de désinformation spectaculaire et internationale qui se fera sur plusieurs semaines. Entre les centaines d’articles, de reportages et millier de posts sur les réseaux sociaux provenant principalement d’Israël, du Maroc et de France, nous n’allons voir ici qu'un petit échantillon des événements pour comprendre le fonctionnement de cette cabale infernale, minutieusement organisée.

Tout a débuté avec le journal Atlasinfo et une personne, que le célèbre ‘’hacker’’ Chris Coleman, a identifié comme étant le visage présentable des services secrets marocains en France : Hasna Daoudi. Atlas info a été créé par cette ancienne de la MAP, qui est considéré comme étant une officine de la DGED (services secrets marocains) en plein cœur de Paris par un célèbre journaliste d’investigation qui évoque une sentence de la justice espagnole qui confirmerait ces faits.  Le 5 janvier donc, Atlas info commence les hostilités avec un article incendiaire insultant et diffamant ayant comme ligne de fond : ne pas accorder l’asile politique au couple Filali.

Chose étrange puisque nous avons déjà été reconnus réfugiés politiques par l’ONU, le bureau du UNHCR de Pékin. Nous l’avions pourtant fièrement annoncé sur nos réseaux et dans de nombreux médias internationaux (dont ''Middle east eye'' et une double page dans Libération) que nous étions les premiers réfugiés politiques marocains en Chine.

Comment est-il possible que cette personne n’ait pas été au courant, qui pourtant d’après son statut de directrice de journal, devait être au minimum renseignée, il aurait suffit de faire une recherche sur google …… Ce n'est que plus tard que nous comprendrons le stratagème qui a été employé avec cette ligne conductrice mensongère reprise par tous ces médias diffamatoires.

Hasna Daoudi poussa le vice à son apothéose en interpellant Marine le Pen quelques jours plus tard sur notre cas, lors d’une conférence de presse à Paris, lui demandant ce qu’elle pensait de notre demande d’asile en tant qu‘’antisémite notoire’’ à quoi elle répondit : “Je ne connais pas ce cas particulier, mais je pense, bien évidemment, que pour obtenir le droit d’asile, il faut respecter la loi française et particulièrement la constitution française parce que l’antisémitisme est incompatible avec la constitution française.”

En Chine, les campagnes diffamatoires n’ont jamais fonctionné avec les autorités chinoises, elles n’ont jamais eu aucun écho dans la vie réelle, le Maroc avait beau nous accuser de détournement de fonds, vente de drogue et d’arme, rien ne faisait sourciller ‘’les sérieux’’ Chinois. Contre ces fausses accusations criminelles et la persécution du Maroc, la Chine fini par nous accorder l’asile politique. Ces accusations caricaturales étaient censées, d'après le stratagème des autorités marocaines, nous portaient préjudice avec les autorités chinoises. C’est l’exact contraire qui arriva.

La en France, les ennemies de la liberté et de l’humanité que sont les services secrets marocains et leurs alliés, adaptent la diffamation au pays où on trouve et à sa triste histoire avec des accusations d’Antisémitisme en écrasant et manipulant la mémoire de millions de victimes juives à des fins purement politiques.

Le même jour sort un article sur un des médias diffamatoires des services secrets marocains signé du nom de M.Olivier de Lagarde, un papier aussi insultant que médiocre, repris par des dizaines de journaux aux ordres du régime marocain. Sans surprise, tous sont dans la même veine qu' Atlasinfo et que les milliers d’autre articles, commentaires, reportages et publications sur les réseaux sortis la même période : diffamations, insultes, mensonges et remise en cause de la légitimité de notre demande d’asile en France.

Le 6 janvier, le lendemain, enchaîne une pseudo-association antiraciste, LA BNVCA, avec un communiqué adressé à Darmanin et à l’Ofpra (office français de protection des réfugiés et apatrides) employant des propos très violents et diffamants dont certains à connotation raciste : Le président de cette association, ne cesse de rappeler nos origines marocaines tout au long de son flot de paroles mensongères, diffamatoires, médisantes menaçantes et insultantes. Il ordonne au ministre de l'Intérieur de nous faire dégager du territoire français et de nous destituer de tous nos droits. Le communiqué a relayé de fausses informations, fausses accusations dangereuses et de la diffamation à haut niveau du régime marocain.

La BVNCA qui se dit lutter contre l’antisémitisme, est dirigée par Samy ghozlan, commissaire parisien à la retraite vivant en Israël, à Netanya depuis 2015.Condamné pour des affaires de diffamation, son association à la réputation d’être communautaire et donne surtout l’impression d’être une coquille vide.

L’ancien policier et son « Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme »(BNVCA) sont célèbres pour avoir en 2004 informé la presse de «l’agression antisémite» contre une jeune fille dans le RER D, sans aucune vérification (un comble pour un ancien policier) avec un dénouement consternant : la victime en question avait affabulé.

En 2008, il replonge en faisant passer pour une attaque antisémite, une simple bagarre entre gangs de jeunes dans le 19e arrondissement de Paris.

En octobre 2009, il tente d’esquinter la réputation du célèbre et respectable comédien Francois Cluzet en laissant planer le soupçon d’antisémitisme sur le comédien à cause de sa contribution à faire connaître le cas du franco-palestinien Salah Hamouri .

Pour finir (il en reste pourtant beaucoup à dire.), il s’en prend violemment à Jack Attali en disant : « les propos délirants de Jacques Attali qui fait preuve d’ignorance, de négationnisme en assurant que les Juifs mentent sur l’antisémitisme qu’ils subissent, laissant croire qu’il s’agit d’une propagande d’Israël ». Quand on est capable d’attaquer Attali pour négationnisme, on peut bien faire passer n’importe qui pour le pire des antisémites…

Ce triste sire dit sur nous les pires mensonges et insultes et fini par envoyer un courrier au ministère de l'Intérieur et à l’OFPRA pour que ces derniers ne reconnaissent pas notre asile. Le monsieur reprit toute la diffamation du Maroc à notre encontre, contre laquelle nous avons eu l’asile politique, est comme par magie transforme ça en des faits établis.  Voici quelques passages du communiqué rempli de mensonge et de haine avec en bonus nos commentaires :

« Ces individus d'origine marocaine ne sont ni réfugiés, ni apatrides. Ils sont de nationalité marocaine. Ils se vantent d'être des admirateurs et des amis de Dieudonné et Soral plusieurs fois condamnés pour incitation à la haine anti-juive. »

     Réponse : nous sommes les premiers Marocains reconnus réfugiés politiques en Chine , notre statut est international, car il provient directement de l’ONU (UNHCR) , nous ne nous sommes jamais vantés d’être l’ami de quiconque, nous n’avons jamais rencontré Alain Soral ni Dieudonné donc on pourrait difficilement être leurs amis.

« Ils se présentent en photo avec Soral et faisant le geste nazi de la quenelle. »

     Réponse : nous n’avons jamais fait de photo avec Soral, ni jamais rencontré Soral ni n’avons jamais fait de geste nazi.

« Nous rappelons que Dounia Moustaslim et Adnane Filali s’étaient installés en Chine. Ils y ont développé un commerce juteux avec plein de gadgets allant des téléphones contrefaits aux poupées gonflables, en passant par toute une gamme de produits pornos. »

     Réponse : nous n’avons jamais vendu de produit contrefaits ni pornographiques.

« Sur les réseaux sociaux, ils se lâchent complètement en faisant l’apologie de groupes terroristes comme le Hezbollah et en démontrant leur antisémitisme flagrant. »

     Réponse : nous n’avons jamais fait de déclaration haineuse, nous n’avons jamais fait l’apologie de groupe terroriste.

« Le BNVCA a décidé de saisir l'OFPRA par lettre recommandée pour lui demander de refuser d'accorder un quelconque asile en France ni aucune protection.Le BNVCA a également saisi le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, afin qu'il donne ses instructions à l'OFPRA placé sous son autorité afin que toute demande de ces individus soit rejetée sans appel.Le BNVCA demande à son conseil Maître Franck Serfati, de déposer plainte contre les époux Filali s'ils se trouvent actuellement en France, les interpeller et les expulser de notre pays en usant de toutes les lois et règlements administratifs en vigueur.»

Nous ne répondons généralement pas à la diffamation et aux fausses allégations du pouvoir marocain et de ses alliées. Ils veulent dévaloriser notre message de vérité et nos travaux journalistiques pour nous embrouiller avec leurs mensonges.

Mais pour le coup, ça fait du bien de partager pour une fois, un petit bout du harcèlement que l’on vit au quotidien. Il est bon que le public lambda sache ce que peut vivre une personne harcelée par un pays avec toute la disproportion monumentale et caricaturale que ça génère (surtout que dans notre affaire plusieurs pays sont impliqués) et imagine les conséquences psychologiques, sociales et forcément malheureuses que ça peut avoir sur un être humain.

Il est important que tout le monde comprenne bien, que le titre de journaliste se mérite, dire la vérité n’est jamais sans conséquence. Avoir une carte de journaliste ne veut pas forcément signifier qu’on est journaliste.

À savoir, fait important, que la campagne diffamatoire internationale que nous avons subie s’est nourrie très exactement de ces quelques passages que vous venez de lire. 

C’était l’argumentaire de base et évidemment, chacun y est allé avec son lot de mensonge et d’insultes pour y mettre sa touche perso.

À partir de ce communiqué, le plus grand torrent de boue préparé par le Maroc avec les différents bureaux de TEAM GEORGE ainsi que l’aide de certaines personnes et organismes français et Israélien ont créé de  la plus grande campagne de désinformation et diffamation qu’il y a eu dans toute l’histoire de l’humanité contre des Marocains, voire contre des humains tout simplement.

Ici, nous ne pouvons tout dévoiler, nos avocats ont des centaines d’éléments de preuves contre les personnes et pays impliqués dans cette cabale. Certains médias internationaux et ONG enquêtent actuellement sur notre affaire, les résultats seront bientôt publiés.

En attendant, vous découvrez ici un aperçu de la folie, de la rage démesurée et du niveau de corruption employé par le Maroc en France pour nous détruire et du niveau zéro de courage de certains pour dénoncer ce qui est pourtant visible par tous. Je parle bien de pseudo-journalistes et d'associations de droit de l’Homme qui voit tout depuis le début et qui n’ont pas voulu apporter l’aide nécessaire aux personnes extrêmement vulnérables qu’on a été à ce moment. Je ne parle même pas de certains avocats et journalistes qui ont participé à cette sombre mascarade… On reviendra vers ce volet dans un autre article.

Un déferlement ininterrompu d’articles dans la presse israélienne reprit les fausses informations, accusations et diffamations de Samy gozhlan, et presque toute la presse marocaine fit partie de cette mascarade médiatique, même celle qui semblait respectable.  La MAP, l’AFP marocain, (dont mon oncle, paix a son âme était directeur et qui doit se retourner pour l’occasion dans sa tombe) fit passer l’information comme étant le scandale du siècle : le couple Filali ne doit pas avoir l’asile politique en France, ce sont de dangereuses personnes extrémistes pro-terroriste, mafieuse et antisémites. Comme unique argument, la preuve ultime : le communiqué mensonger et diffamatoire du piteux Sammy Ghozlan.

Certains journaux , dans la plus grande des tranquillités, ont même poussé l'ignominie dans ses retranchements les plus abjects en affirmant que nous étions des adorateurs d'Adolf Hitler et que j'aurai annoncé mon intention de tuer des Juifs si on ne nous reconnaissait pas notre asile en France.

Ils ont exploité le filon jusqu’à la moelle, ils ont même lancé une pétition contre notre demande d’asile qu’ils ont fait tourner dans tous leurs médias de propagandes. L’affaire fit le tour de la planète. Mis à part les médias marocains israéliens et français, leurs mensonges atteignirent des pays aussi inattendus que le Mali et la Libye. L'Italie et l'Espagne ne furent pas épargnés non plus ... Tous les journaux proches de la planète du Makhzen ont diffusé leurs diffamations et injonctions à ne pas nous remettre l’asile, une pure folie.

On était étonné d’être aussi connu de par le monde, nous qui ne traitons que du sujet du Maroc et qui n’avons comme public en majorité que des Marocains ne s’exprimant pour la plupart que dans le dialecte marocain, étrange, n’est-il pas ?

Mais attardons-nous de plus près sur certains éléments pour mieux comprendre les rouages de cette conspiration bien huilée.

Le 6 janvier , le même jour de la sortie du communiqué de la BVNCA, est diffusé un reportage à charge contre nous sur I24 NEWS avec de fausses accusations d’antisémitisme et de diffamations en tout genre, avec comme conclusion encore et toujours : la remise en cause de notre asile politique en France.

Nous savons de source sûre que la présentatrice Sandy Fortis, qui anima ce mini show diffamatoire d’I 24 NEWS, a confirmé auprès d’une de ses consœurs que nous connaissons, et qui a témoigné de la chose auprès d’un avocat parisien de renom, que le sujet lui a était imposé par la direction sans qu'elle n’eût rien à redire et qu’elle n'ait eu l’occasion de faire son travail de journaliste, c’est-à-dire de vérifier l’information. Étrangement, peu de temps après ce reportage qui aurait pu être signé par un Joseph Goebbels au sommet de sa carrière, I24 NEWS ouvre des bureaux à Rabat et à Casablanca. Échange de bon procédé ? Quoi d’autre sinon ….

S’ensuivit un déferlement de haine dans d’autres médias israéliens dans la continuité de ceux de leurs confrères marocains. Sans rentrer dans l’analyse de chaque article, on peut citer TIMES OF ISRAEL comme l’un des plus véhéments, poussant le harcèlement jusqu’à publier plusieurs articles sur le sujet en invitant à chaque fois un personnage différent pour venir nous cracher dessus. Nous reviendrons sur chacun d’entre eux lors d’un prochain papier.

Certains journalistes ont indiqué l’implication du Mossad, les services de renseignements israéliens, dans cette affaire. D’autres journalistes n’ont pas eu le même courage, le constat est pourtant facile à faire, tout est accessible, les preuves sont pour la plupart publiques et en accès libre sur Internet.

Dans la même période en France, le magazine Jeune Afrique n’a pas manqué d’apporter sa pierre à l’édifice à l'une des plus lâches et violentes attaques qu’ait eu à subir de simples civils de la part de plusieurs états. Les liens de ce média avec le pouvoir marocain ne sont plus à faire. Le fameux Chris Coleman, encore lui, a révélé des transactions financières, des virements effectués du ministère de l'Intérieur marocain à Jeune Afrique. Il y serait question de pas moins de 700.000 euros perçus par le magazine Jeune Afrique entre 2010 et 2011 sous la forme de contrats publicitaires. Au vu des incessants et dithyrambiques articles en faveur de la monarchie, on est en droit de se demander si cette importante somme ne serait qu’une infime partie de l’argent reçue par ce magazine de la part du Maroc. Ne serait-ce pas, une explication sur la ligne éditoriale de ce magazine, tenu par la dynastie Ben Yahmed et François Soudan, qui donne souvent l'impression de légitimé la propagande du régime marocain depuis tant d’années ? Ce média, à l’instar de tous ‘’les amis’’ du Maroc, n’est pas avare d’articles en défaveurs au front Polisario, l’ennemie historique du régime marocain.

Jeune Afrique nous a donc envoyé l’une de ces ‘’journalistes ‘’. Au téléphone, elle nous demande une interview pour répondre aux accusations du Maroc et à celles de certains personnages à la stature internationale en faisant référence à Irina Tsukerman, une influenceuse politique professionnelle et avocate installée à New York. À ces mots, nous avons senti le traquenard et lui avons répondu, avant de raccrocher, que nous ne parlerons pas à des personnes qui font le jeu du Maroc en considérant la diffamation et la désinformation comme étant de l'information. Elle finit par pondre un article diffamatoire quelques jours après. 

Pour mieux comprendre ce qui se trame, voilà ce que disent Forbidenstorie dans leur enquête sur la fameuse Irina Tsukerman, elle est aussi épinglée dans le réseau de désinformations employé par TEAM JORGE. Voici un extrait de la quatrième partie du projet storie Killer une enquête mondiale sur les Mercenaires de la désinformation :

                  « En 2020, des influenceurs numériques aux États-Unis ont ciblé en ligne un journaliste basé dans le Golfe. L'une d'elles, actuellement sous enquête par le FBI, a vraisemblablement été payée par un prince saoudien pour ses tweets, en possible violation de la loi américaine. D'autres jouent le rôle d'avocat, de consultant et de journaliste et ont des liens possibles avec des entités étrangères.

Une autre influenceuse professionnelle qui a attaqué Oueiss en ligne est Irina Tsukerman, une avocate basée à New York qui fait écho à des récits proches de ceux de l'Arabie Saoudite, des Émirats arabes unis, du Maroc, de l'Azerbaïdjan et d'Israël dans des vidéos, des articles d'opinion et des apparitions à la télévision. Hors ligne, Tsukerman propose des services de "guerre de l'information" "offensifs" et "défensifs" par le biais de sa société américaine, Scarab Rising, et plaide auprès du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies avec une ONG yéménite louche, la Coalition yéménite des femmes indépendantes. À l'été 2022, Tsukerman a accompagné l'ONG sur la colline du Capitole pour faire pression sur les représentants pour réintégrer les rebelles houthis, largement considérés comme soutenus par l'Iran, un rival connu de l'Arabie saoudite, sur la liste des organisations terroristes étrangères. 

En plus de cibler Oueiss, Tsukerman, titulaire d'un diplôme en droit de l'Université Fordham, a insulté plusieurs détracteurs du régime saoudien sur Twitter. Après le meurtre de Khashoggi, Tsukerman a publiquement remis en cause le travail des enquêteurs indépendants, défendant MBS. (Tsukerman a déclaré qu'elle avait également critiqué le gouvernement saoudien en ligne et qu'elle avait une position différente de celle de Riyad sur le meurtre de Khashoggi.)Pour Owen Jones, il y aura toujours une place dans le paysage numérique pour les personnes prêtes à défendre l'indéfendable ou "le chien d'attaque", a-t-il expliqué. Il existe un marché constant pour quelqu'un qui "n'a pas peur de dire quoi que ce soit et de se faire enregistrer" mais qui "a également des qualifications d'une bonne université", a-t-il déclaré à propos de Tsukerman. »

À savoir aussi, avant de conclure sur le chapitre Jeune Afrique , que Fadwa Islah auteur de cet article diffamatoire,’ a était aperçu récemment dans une émission d'I24 NEWS  rappelant les positions du Maroc concernant le chantage à la reconnaissance du Sahara comme base diplomatique avec le France et les autres pays.  On peut la voir y mettre du cœur à l’ouvrage dans ce qui sonne comme une opération de propagande à peine voilée.

 A suivi dans le pays des droits de l’homme et de la baguette Jérôme Besnard, du magasine L’incorrect, accompagnant vaillamment cette campagne diffamatoire internationale avec son article insultant.

Le fameux Jérôme Besnard qui s’est trouvé une passion soudaine pour le régime marocain, le défendant avec une hargne inhabituelle pour un Français de souche. Il n'a donc aucune origine marocaine et n’est en aucun cas un spécialiste du Maghreb, ni ses études ni son parcours n’en attestent en tout cas.

Il va même jusqu’à épingler sur son compte Twitter un propos dénigrant subtilement la députée Karima Delli qui pourtant ne fait que souhaiter l’interdiction du lobbying marocain, qui avec l’affaire Marocgate, a pris des proportions criminelles et mafieuses rarement atteintes.

La récente détention du ’’ repenti ’’ Pier Antonio et la mise en détention provisoire d’Eva Kaili et MarcTarabella ne sont qu'une prémices des scandales à venir.

  Besnard ne trouve rien d’autre à épingler au sommet de son compte, que ces mots frisant l’indécence au vu de la situation :

« Suspendre les accords de l'UE avec le Maroc est justement l'une des exigences de l'Algérie via notamment le biais des activistes du Polisario. Oh surprise, quel hasard, les parents de Mme Delli sont d'origine algérienne. »

De la droite conservatrice à l'allégeance au régime dictatorial Marocain, il y a certainement un chapitre qui a dû nous échapper ainsi qu’à son très restreint auditoire.

Il n'hésite pas à tacler l’Algérie , l'un des ennemis jurés du Maroc, dès que l'occasion se présente. Récemment, il partagea un tweet de Morocco intelligence qui dit : « Dans une interview au JDD, Xavier Driencourt, ex-ambassadeur en Algérie, exprime ses doutes sur le pari algérien de Macron ».

Plus hallucinant encore, ce lobbyiste Eco plus du régime marocain, revendique la cause principale de la monarchie : Le Sahara occidental.

Il participe à un bouquin sur le sujet : ’’ Sahara  History and Contemporary Perspectives'' dés qu'il en a l'occasion, il déblatère dans les médias la propagande du Makhzen,

 il ira même défendre cette cause sacrée du régime devant les nations unies !

 Le 7 octobre 2021 lors d'une réunion aux Nations unies autour du problème du Sahara occidental, il dit : ‘’Le succès de ces élections a démontré que seule la souveraineté du Maroc est garante du droit à l’autodétermination de la population des provinces du Sahara.''

Tout comme son confrère Rachid M'Barki de BFM TV, Jérôme a un avis bien tranché sur la question du Sahara occidental. Il répète à qui veut bien l’entendre que le Sahara est bien mieux sous la main des Marocains que sous le contrôle de ses natifs Sahraouis. 

Nous attendons toujours une réaction des rédactions qui accueillent cette personne et que ForbidenStorie se penche sur ce curieux personnage pour savoir si lui aussi peut-être légitiment soupçonné d'être un agent d’influence du Maroc employé sur le sol français. 

Il y a eu aussi en France, Mondafrique, le directeur n’est plus à présenter, il s’agit de Nicolas Beau, un personnage à la réputation ternie par de nombreuses affaires glauques. Il fut un pion supplémentaire dans la propagation de fausses allégations à notre encontre.

Le palmarès de ce Monsieur est fort impressionnant, jugez-en par vous-même.

* En 2019, l’ex-ministre de l’Intérieur tunisien,  Lutfi Brahim, intente un procès contre Nicolas Beau en l’accusant d’avoir touché 700000 euros du Qatar pour améliorer son image et cesser de l’attaquer.

* En octobre 2014, Nicolas Beau est condamné à verser 3 000 euros en plus 2 500 euros de frais d’avocat et de dommages et intérêts à Amar Saâdani un homme politique algérien. « Le tribunal a jugé que l’enquête du journal de Nicolas Beau, Mondafrique, sur la personne d'Amar Saadani , n’était pas sérieuse d’un point de vue journalistique ».

* Scandale sur le sauvetage de son ancien journal « Backchich » via l’entrée en capital du sulfureux homme d’affaires Alexandre Djouhri  avec l’apport  de 400 000 euros. Il nia tout abord et parla d’une « rumeur malveillante » et fit même un procès et réclama 200 000 euros à la suite d’un article sur le sujet en 2006. Il finit par avouer les faits 6 ans après dans son livre « Les Beurgeois de la République » (Seuil).

Combien de temps et dans quel livre avouera-t-il la vérité sur qui l’a approché pour nous attaquer ? Avouera-t-il les enjeux qui l’ont poussé à ce lâche massacre en troupe contre deux simples journalistes réfugiés politiques qui constituent un tel danger pour les intérêts d’un dictateur et de ses amis ?

Beaucoup d’autres noms sont encore à citer dans notre  affaire : Ahmed Charai, Eric Gozlan, Lahcen Hammouch et tant d’autres. Nous y reviendrons dans d’autres enquêtes sous forme écrite ou en vidéo très bientôt. Nous n’avons cité ici qu'un certain nombre de personnes contre lesquelles nous avons porté plainte.

Certain noms commencent donc à sortir dans les rapports et la presse, nous, on les avait déjà dénoncés il y a  un an, mais on s'est retrouvé devant un silence assourdissant. La plupart des associations, ONG et médias en France connaissent notre histoire, nous avons contacté la plupart d'entre eux, pour dévoiler ce scandale, mais sans succès.

Nous avons évidemment porté plainte pour diffamation contre toutes ces personnes qui ont porté atteinte à notre intégrité morale et qui nous ont mis en danger sur le sol français, plus de 12 plaintes en diffamation et plusieurs pour menace de mort (une des conséquences directe et indirectes de la campagne de fausses accusation et de diffamations).Toutes nos plaintes ont été rejetées, pour la plupart en 48H, pour des raisons complètement fausses et parfois surréalistes.

Une question se pose sur la justice française, pourquoi des plaintes se voient rejeter aussi vite et pour des raisons fallacieuses ?

Où commence la corruption du Maroc, ou s’arrête les services rendus au Maroc par certaines institutions de l'État français pour nous écraser ?

Nous avons su après coup que la campagne diffamatoire internationale à notre encontre était bel et bien gérée de main de maître par plusieurs services de plusieurs pays. Le Maroc avait pour but de nous décrédibiliser sur le sol français, de nous faire passer pour de dangereux antisémites pour que nos droits de réfugiés politiques en France ne nous soient pas reconnus. 

Depuis cette machination, certains rapports d'institution étatique française considèrent que nous sommes des dangers pour la sécurité intérieure française se basant sur le complot orchestré savamment par le Maroc avec toute la compétence et le savoir-faire d’une société tel que TEAM JORGE. L’une de nos sources nous a confirmé l’implication de la firme TEAM GEORGE dans la planification et de la mise à exécution de ce plan diabolique à travers ses bureaux en Israël est au Maroc. Comme dit auparavant, des ONGs internationales et des journalistes d’investigation étudient actuellement notre affaire de près ainsi que les éléments troublant que nous leur avons transmis. Un scandale retentissant est à venir, bien plus dangereux que quelques mots glissés dans la bouche d'un journaliste corrompu.

Le Maroc à travers l'affaire Maroc Gate a démontré le niveau élevé de corruption au sein même des instances européennes, à travers notre affaire, nous savons que tout lui est permis sur le territoire français.

Team Jorge est comme un cancer, une métastase affreuse qui a pénétré le corps marocain, l'état policier fait désormais un avec cette officine de surveillance et de propagande criminel. Malade, Le Makhzen finira par tomber et il n'est pas incertain qu'il n'entraîne pas dans sa chute certains alliés qui se disent irréprochables et se pensent intouchables.


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